17.11.2008 >> El WatanLes fortes pluies qui se sont abattues ces dernières vingt-quatre heures sur la capitale ont causé des inondations à Alger-Plage, commune de Bordj El Bahri. Plusieurs maisons situées sur l’artère principale menant à Tamentfoust ont été entièrement inondées.
Avec des moyens dérisoires, les habitants essayaient jusque tard dans la nuit de lutter contre les flots torrentiels qui ont envahi leurs maisons, en vain. Par ailleurs, les habitants d’un îlot de maisons situées sur la RN 24 à la sortie de Bordj El Bahri ont bloqué cette route durant une bonne partie de la matinée. Ils voulaient protester contre le mépris des autorités locales qui, selon un certains nombre d’entre eux, « n’ont rien entrepris en termes d’entretien des réseaux d’évacuation des eaux de pluie pour éviter ces inondations ». En somme, ces débordements ont mis à nu la mauvaise gestion de l’urbanisme à Bordj El Bahri, marqué par l’absence d’entretien des voiries et réseaux divers (VRD). Les habitants montrent du doigt les élus locaux qui ont, faut-il le souligné, brillé par leur laxisme et leur laisser-aller depuis leur installation à la tête de l’APC. L’absence d’entretien des voiries, des regards et des canalisations est assurément à l’origine de ces inondations. « Nous avons à maintes reprises saisi les autorités locales quant à la nécessité de prendre en charge ce problème à répétition, mais nos démarches ont été vaines », s’indigne un habitant du quartier, avant d’ajouter : « Les autorités locales n’ont jamais pris au sérieux ce problème qui perdure depuis maintenant plusieurs années. Ils ont toujours fait dans le bricolage et le simple rafistolage. » À Alger-Plage, le problème des inondations est présenté par les responsables locaux comme étant une fatalité, du fait que la localité est située au dessous du niveau de la mer. Bien que, d’un point de vu objectif, ce raisonnement tienne la route, il est paradoxalement devenu à la longue un moyen pour ces responsables locaux de se dérober face à leurs responsabilités. Une prise en charge définitive de ce problème s’impose afin d’éviter des pertes matérielles et humaines.
Avec des moyens dérisoires, les habitants essayaient jusque tard dans la nuit de lutter contre les flots torrentiels qui ont envahi leurs maisons, en vain. Par ailleurs, les habitants d’un îlot de maisons situées sur la RN 24 à la sortie de Bordj El Bahri ont bloqué cette route durant une bonne partie de la matinée. Ils voulaient protester contre le mépris des autorités locales qui, selon un certains nombre d’entre eux, « n’ont rien entrepris en termes d’entretien des réseaux d’évacuation des eaux de pluie pour éviter ces inondations ». En somme, ces débordements ont mis à nu la mauvaise gestion de l’urbanisme à Bordj El Bahri, marqué par l’absence d’entretien des voiries et réseaux divers (VRD). Les habitants montrent du doigt les élus locaux qui ont, faut-il le souligné, brillé par leur laxisme et leur laisser-aller depuis leur installation à la tête de l’APC. L’absence d’entretien des voiries, des regards et des canalisations est assurément à l’origine de ces inondations. « Nous avons à maintes reprises saisi les autorités locales quant à la nécessité de prendre en charge ce problème à répétition, mais nos démarches ont été vaines », s’indigne un habitant du quartier, avant d’ajouter : « Les autorités locales n’ont jamais pris au sérieux ce problème qui perdure depuis maintenant plusieurs années. Ils ont toujours fait dans le bricolage et le simple rafistolage. » À Alger-Plage, le problème des inondations est présenté par les responsables locaux comme étant une fatalité, du fait que la localité est située au dessous du niveau de la mer. Bien que, d’un point de vu objectif, ce raisonnement tienne la route, il est paradoxalement devenu à la longue un moyen pour ces responsables locaux de se dérober face à leurs responsabilités. Une prise en charge définitive de ce problème s’impose afin d’éviter des pertes matérielles et humaines.
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